Et jeudi, 18/10.
Quelques temps sans nouvelles. Shio est bien rentrée. Il est 18h au Japon et il fait nuit noire, semble-t-il. On s'installera à terme à Osaka, m'est avis. Le dilemme est encor là, dans un coin de la tête.
Entre temps, Momoko est elle aussi rentrée, Nobuko est arrivée, qui sieste à présent dans le canapé. Grève générale des transports, ce jour — quelle irresponsabilité. De plus en plus d'échos, aux Puces, entre autres, où se côtoient milliardaires et clochards, avec pour leitmotiv : la France est finie, à laquelle ne reste qu'un passé glorieux depuis long révolu. Bah.
A part ça, deux jours et une nuit à Strasbourg, où l'on n'avait mis les pieds depuis ce petit tour avec Li il y a cinq ou six ans. Gratifiés d'un temps absolûment splendide, longues marches et bons restaus. C'est vraiment une jolie ville, tellement plus facile à vivre que Paris, ne serait-ce que parce que tout y est à échelle humaine, les berges de l'Ill, le silence, et ce centre-ville piétonnier, n'est-ce pas.
Assez content d'avoir pu y retourner avant le départ. On aurait bien aimé faire de même avec Dublin — tant pis.
Au jour d'huy aussi, très beau temps, un peu frais, probablement. Quelques petites choses à expédier : un colis, des courses, un peu de rangement — tout continue.
Pas vraiement le temps de faire tout ce qu'on voudrait, ni l'occasion de, vu la compagnie ; mais bon...
Allez hop, bougeons-nous un peu.
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