Régler les formalités au plus vite ! n'est pas une mauvaise maxime, m'est avis. : )
Pour la gaikokujin touroku shoumeisho 外国人 登録 証明書, qui vous servira en gros de carte d'identité ici, rendez-vous à la mairie la plus proche de votre domicile avec votre passeport.
Un bureau est d'ordinaire consacré au domaine étranger et à l'enregistrement des sceaux — c'était le cas à la mairie de Setagaya (世田谷).
A l'arrivée, entrez dans n'importe quel immeuble de la mairie — certaines sont de vrais labyrinthes — et demandez votre chemin : toujours la solution la plus rapide — à moins que vous ayez du temps à perdre.
Tout se passa plutôt vite ; personnel toujours prêt à vous assister dans la tâche. Coût de l'enregistrement : environ 300 ¥.
Vous alors recevrez un document attestant que vous avez fait la demande de l'Alien Registration Card, sur laquelle figure la période pendant laquelle vous pouvez venir la retirer, au même guichet.
Et deux semaines plus tard, Oh la belle carte toute brillante !
Si, entre temps, vous avez besoin d'une preuve de votre enregistrement — pour banque, téléphone ou autre —, faites la demande d'un justificatif (100 ¥), qui vous sera délivré dans la foulée.
Ayant vu un panneau disant Seal Registration, inkan touroku (印鑑登録) sur le côté, j'en profite pour me débarrasser d'une autre corvée : l'enregistrement du sceau personnel.
En effet, bien que la signature autographe progresse ci et là, le sceau est le seul moyen de consentement légal, et sert en toutes occasions majeures : appartement, banque, etc.
Munissez-vous d'un sceau dur — les sceaux en gomme ne sont pas acceptés —, remplissez le formulaire avec l'aide du gentil employé de mairie, patientez quelques minutes, et le tour est joué.
A noter que l'ors que vous vous présenterez à la banque etc., le sceau ainsi qu'un justificatif d'enregistrement est nécessaire : faites-en la demande de suite.
Vous pouvez le demander au même guichet ; mais la possibilité était ici offerte de pouvoir retirer ce justificatif avec une carte — qu'on vous fabrique dans la foulée, gratuite, et qui fonctionne avec un distributeur automatique et un code secret que vous décidez —, ce qui rend l'opération quelque peu moins coûteuse (si mes souvenirs sont bons, 250 ¥ au lieu de 300).
Voilà voilà !
Prochain sujet : la banque... Ce fut plus coton.
Pour la gaikokujin touroku shoumeisho 外国人 登録 証明書, qui vous servira en gros de carte d'identité ici, rendez-vous à la mairie la plus proche de votre domicile avec votre passeport.
Un bureau est d'ordinaire consacré au domaine étranger et à l'enregistrement des sceaux — c'était le cas à la mairie de Setagaya (世田谷).
A l'arrivée, entrez dans n'importe quel immeuble de la mairie — certaines sont de vrais labyrinthes — et demandez votre chemin : toujours la solution la plus rapide — à moins que vous ayez du temps à perdre.
Tout se passa plutôt vite ; personnel toujours prêt à vous assister dans la tâche. Coût de l'enregistrement : environ 300 ¥.
Vous alors recevrez un document attestant que vous avez fait la demande de l'Alien Registration Card, sur laquelle figure la période pendant laquelle vous pouvez venir la retirer, au même guichet.
Et deux semaines plus tard, Oh la belle carte toute brillante !
Si, entre temps, vous avez besoin d'une preuve de votre enregistrement — pour banque, téléphone ou autre —, faites la demande d'un justificatif (100 ¥), qui vous sera délivré dans la foulée.
Ayant vu un panneau disant Seal Registration, inkan touroku (印鑑登録) sur le côté, j'en profite pour me débarrasser d'une autre corvée : l'enregistrement du sceau personnel.
En effet, bien que la signature autographe progresse ci et là, le sceau est le seul moyen de consentement légal, et sert en toutes occasions majeures : appartement, banque, etc.
Munissez-vous d'un sceau dur — les sceaux en gomme ne sont pas acceptés —, remplissez le formulaire avec l'aide du gentil employé de mairie, patientez quelques minutes, et le tour est joué.
A noter que l'ors que vous vous présenterez à la banque etc., le sceau ainsi qu'un justificatif d'enregistrement est nécessaire : faites-en la demande de suite.
Vous pouvez le demander au même guichet ; mais la possibilité était ici offerte de pouvoir retirer ce justificatif avec une carte — qu'on vous fabrique dans la foulée, gratuite, et qui fonctionne avec un distributeur automatique et un code secret que vous décidez —, ce qui rend l'opération quelque peu moins coûteuse (si mes souvenirs sont bons, 250 ¥ au lieu de 300).
Voilà voilà !
Prochain sujet : la banque... Ce fut plus coton.
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