Fort heureusement, à quelques stations de là, l'eau courante de l'immeuble garde sa transparence relative.
Avec l'automne, vient aussi la résignation à devoir prendre à nouveau douches chaudes... J'aime bien les douches froides : ça réveille, est diablement agréable en temps estival, et me rappelle la piscine et l'école — à voir au fait qu'on se douche ici dans une pièce, peut-être, et non dans un bac de douche ?
Car au Japon, c'est un brûleur à gaz qui, la plupart du temps, chauffe l'eau à son arrivée, avec bruit caractéristique. On peut même, grâce à un système de pompe et au dit brûleur, réchauffer l'eau du bain de la veille. La température est, cela va de soi, réglable. Ah, ces petits riens japonais...
Rien à voir encor ; mais il semble que la paternité-maternité (mmh, principalement celle-là : les enfants voient leur mère à longueur de journée ou presque, avant scolarisation quelconque ; les pères, dans la plupart des cas, c'est le week-end) soient bien peu de chose : il faut sans cesse rappeler aux gamins-gamines qui nous ont à la bonne qu'on n'est pas leur papa. "Papa" doit par ailleurs leur être une sorte d'entité assez floue pour dire "adulte mâle pour qui on a de l'affection, et qu'on ramènerait bien à la maison, si maman était d'accord"...
Sur ces légères considérations, c'est l'heure du udon !
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