Vendredi, de retour en fuseau horaire GMT + 8/9.
Le voyage fut, comme à l'habitude, un peu pénible — les bagages, les bagages... — mais le temps en suspension passa plutôt vite : films assez intéressants — Hancock, en particulier, me fit bien sourire.
Le rhume est toujours d'actualité : on le rapporta du Japon, et repartit avec. Encor heureux que cela ne pèse rien parmi matière et bagages.
Malgré la demande accrue de respect des consignes de masse des bagages enregistrés, on passa curieusement, une fois encor, avec un 24,5 kg. Et vingt autres sur le dos...
A ce propos, quand les compagnies se décideront-elles sur un critère de masse totale, comprenant celle des voyageurs ? Qu'un imposant Ricain de 100 kg passés et une damsel nipponne de 40 kg aient droit au même tarif et masse de bagages est chose illogique et discriminante, tout de même. Au prix où est (censé être) le carburant... Où va le monde, ma bonne dame ?
Eh.
Derniers médiocres clichés parisiens, donc, avant l'été prochain — ou mort subite.
Nous pûmes à nouveau, mardi et mercredi, entre- -courser pas mal de monde — J & Th, An, X, A, JI et sa compagne, d'un côté, Jy, N-chan, A, Y, Sh, de l'autre — et bons moments. J'aime particulièrement que les gens que j'apprécie puissent faire connaissance — chose hautement improbable si n'était — et en viennent à s'apprécier à leur tour. Enfin bref.
Chose curieuse, encor une, qui vient rompre la loi des séries : on ne me pria pas d'ouvrir ma grosse valise rouge aux douanes japonaises. Tant mieux, tant mieux.
Ayant échappé de justesse aux nouvelles mesures d'entrée sur le territoire japonais l'an dernier, nous n'y coupâmes pas ce coup-ci. Ça va très vite : empreintes, photo, ご苦労様. Et la file du re-entry, c'est le bonheur sur autoroute.
J'aimerais vraiment beaucoup voir : 1 ) un résultat d'analyse du dépôt sur la machine à prise d'empreintes, et 2 ) le trombinoscope de tous ces gens qui viennent de se taper au moins seize heures de voyage inconfortable, manquent de sommeil et qui, à l'instar de votre serviteur, ne se sont ni rasé ni taillé la barbe depuis deux semaines... Ce qui me fait raisonnablement douter de la pertinence et de l'utilité du fichier incriminé. Comme dit l'autre, la tranquillité ou la peur, c'est dans la tête.
Par ailleurs, il me semble qu'on nous rabache à moindre fréquence le couplet Terro Terro, ces derniers temps. Après tout, les seuls actes de terrorisme ayant eu lieu au Japon, furent le fait de Japonais...
Enfin bref !
Le retour — pour une nuit — à Tokyo se fit sous le grand soleil, bien agréable en terrasse habituelle, une fois marche parfaite et bagages posés.
M est partie en fin d'après-midi, pour Ibaraki ; Na est encor au boulot, et devrait pour une fois ne pas rentrer trop tard — vers une heure du matin, quoi. Soirée entre hommes en perspective, donc, ce soir, devant curry-rice, nonnettes et clopes. Impression qu'il a hâte que sa dame sorte de sa convalescence — que celle-ci n'est pas pressée de laisser — à fin d'alléger quelque peu la masse de boulot, chaque un et une ayant tout de même son champ d'expertise. Enfin bref, on pourra en discuter tout à l'heure, n'est-ce pas.
Forcément, quelques petites interrogations pendantes quant à quoi cette année et moyen terme. Pas de presse ; mais mais mais.
Je constate avec effroi que je vire au type inquiet ! Hum hum.
Sur ce, il serait souhaitable, m'est avis, d'aller se mettre en douche.
Allez, et une plaisanterie de goût douteux, qui vient de me poindre en tête :
Hancock, c'est pas la moitié d'une bite.
Hum hum.
Salutations !
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