Soleil, cuisine, nouvelles nippones, et cétéra.

Clémence céleste absolue, hier : bien agréable en contraste de la grisaille parisienne d'il y a si peu encor.

Et futon nuageux ce jour...

Long temps qu'on n'avait fait ni mangé okonomiyaki — お好み焼き "cuit, grille ce qu'il te plaît", n'est-ce pas ; c'est un peu comme la soupe miso : il n'est pas de recette standard ; ce qui, une fois les bases maîtrisées, permet bien des amusements.

Chose peu courante : un visiteur venu du Qatar passa hier par-ci. Je me demande bien comment il arriva sur cette page.

Cet heure-limite journalière — le départ pour les cours — m'induit une mésaise assez désagréable : la presse n'est pas à mon goût. Enfin...

Tiens, une suite de l'affaire du riz-à-colle vendu à grand profit aux écoles et hospices : Mikasa Foods dépose bilan et se met en liquidation judiciaire. Encor un patron qui doit bien se marrer de s'en tirer à si bon compte. De l'avantage de la demande de pardon front à terre : on ne voit jamais le visage.

Tiens, une anecdote amusante — faisant montre de l'exception- -nel don d'obser- -vation des Japonais ?

Tiens, la diète s'inquiète des problèmes techniques posés par ses arrêts, un peu tard. Politique de bas étage — oups, pléonasme. Quel milieu de pantins pourris. Enfin, ce n'est pas nouveau.

Vous cherchez un endroit béni d'une température ambiante de 25°C toute l'année ? Regardez du côté des métros et trains de banlieue japonais. La meilleure option, par ailleurs, pour choper une bonne crève.

Qu'est-ce qu'un cétéra ? Bonne question.

Sur ce !