Dimanche, un peu avant midi, et soleil par la lointaine fenêtre, frais sans surprise et cette impression, particulièrement présente en hiver, qu'à voir le ciel il est déjà seize heures.
Pas mécontent d'être en vacances ; mais un peu fourbu du très-convivial bounenkai d'hier soir — commencé à 17 heures en yakiniku et terminé un peu après minuit en bar-karaoke.
De l'avantage des festivités tostives.
On manqua toutefois le dernier train, marcha d'une station à l'autre, et prit taxi jusqu'à la suivante, et destination. Quelques photos, peut-être plus tard.
Parce qu'il fait faim, on grignote quelques Country M'am, le biscuit le moins mauvais qu'on a pu trouver par ici.
On fait durer le temps du café — mauvais Maxim's lyophilisé, pourtant. Car le temps du café est important !
La concordance temporelle des envies est peut-être le secret de la bonne-entente. Non qu'il ne faille parfois lutter contre.
Il serait temps de terminer les quelques cartes de vœux restantes — d'autres petites choses encor.
Hier quelques achats de livres à nouveau ; n'avoir souci ni d'argent ni de place faciliterait les choix. Nulle intention, toutefois, de faire à nouveau dans l'accumulation, comme jusqu'il y a encor quatre ou cinq ans. Le déménagement de 10 000 volumes, j'ai donné, merci, et pas qu'une fois. Se délester du possible, à terme.
Enfin bref. Je ne m'occupe pas assez de S, qui tient rhume.
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