Lever, manger, passer, dire, et bla.

Le ciel s'est bien couvert depuis le lever qui, dehors, se fit non sans superbe.
C'est moins rare qu'on peut penser.

Diverses choses depuis ; à présent cuisine : c'est qu'il faut bien sustenter son corps, n'est-ce pas.

Non que cela n'ait du goût : riz familial de Shimane, pour curry-rice cuisiné la semaine dernière, et judicieusement congelé — au cas où flemme de, comme ce jour. C'est, aussi, qu'il faut tenir jusqu'à neuf heures, ce soir.

Tiens, il faudrait qu'on ouvre une rubrique Cuisine & Recettes.

Les idées en tout genre ne manquent pas ; le temps, c'est autre chose. On a beau arguer que le temps c'est de la matière, qu'il varie — pour faire vite —, le temps biologique, décrépitude du vivant, est pour soi réglé : une chambre comme celle destinée à l'entraînement de nos petits amis de Dragonball, n'aiderait point. Et puis, comme aimait répéter un ami, on aurait beau disposer de journées de trente-six heures, qu'elles non plus ne suffiraient.

Dans les chapitres d'Augustin parcourus hier soir, ça semble lui poser de sérieuses difficultés métaphysiques, le temps, vu comme il s'étend sur la chose. Problème philosophique = mésusage des termes, origine du problème. Restreindre, définir. Plus de problème, ni difficulté.

Par ailleurs, à fin de clarification, petit billet sur shodou et calligraphie, à venir prochainement.

Tiens, et faisons un peu dans le contraste :

Dans la colonne Encore de Belles Conneries, je demande Tamogami et consorts : suite.

Dans la colonne Riche Initiative, allez jeter un œil sur l'exposition des Trésors nationaux de Miidera (三井寺), au musée municipal d'art d'Osaka (大阪市立美術館). C'est jusqu'au 14 : hâtez-vous.

Le café est une invention de génie.

Allez, apprêtons-nous pour le départ. A dos de zèbre ça le ferait. Kezako un peu plus tard, peut-être.

ではでは。