Mercredi, au matin. Fraîcheur et lumière. Agréables, ces derniers jours. Dommage qu'on n'en puisse pleinement profiter.
P parti pour 有馬 (arima), un peu plus tost : enviable !
De notre côté, impondérables, à présent : café-clope. On filera en douche et boulot, dans la foulée de ceci.
...
Eh, ici aussi on a droit au porte-à-porte des prosélytes de (l'agent) Smith de l'Église de Jésus-christ des saints des derniers jours. I'm all set, thanks.
Où en étais-je ? Nulle-part, semble-t-il.
Ah, problèmes à répétition depuis que j'ai rapatrié mon compte feedburner sur google. Grrr. Désolé pour les utilisateurs d'un lecteur de flux : ça risque de changer d'adresse (quand j'aurai le temps). Je ne saurais par ailleurs trop conseiller à iceux et icelles d'user de marque-page dynamiques ou autres : la mise en page est faite pour le blog. Enfin, j'dis ça j'dis rien.
Grève générale du salariat, semble-t-il, là-bas au loin : amusez-vous bien...
Caricaturale de nos temps démocratiques — en lesquels on préfère niveler par le bas plutôt que d'élever la masse —, l'entreprise éventuelle de réforme du vocabulaire médical, à fin que docteurs et patients puissent se comprendre. Quand j'entends des gens plutôt cultivés me parler de "mauvais sang" et d'autres résurgences médico-médiévales, je me dis que ce n'est pas gagné. D'autant plus que l'auto-médication est, au Japon, diablement développée — idée : obliger les médecins à user du jargon châtié qui se trouve sur les boîtes de médicaments de supermarché ? Mmmh. Enfin bref.
Trouver du travail au Japon ? bougez-vous — que voulez-vous savoir d'autre ? Ce n'est pas quelque chose qui vient à soi — sauf coup de chance relationnel ou autre, qui n'a, la plupart du temps, certes rien à voir avec l'étendue de vos (in)compétences. C'est partout pareil, quoi.
Allez, le temps presse, et je n'aime pas ça !
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