Pizza au Japon ? Télé et puis quoi ? et bla.

Samedi, fin d'après-midi. Plutôt soleil, vent froid, retour de boulot. Les jours fuient, et le soleil reste à chaque un peu plus tard.

Pas du tout envie d'aller me traîner jusqu'à Shinsaibashi ce soir — repas.
On m'a demandé de choisir quoi, entre ça ou ça — je ne sais plus — ou pizza, et on dit pizza, sans grand espoir. On essaya bien, l'ors qu'encor à Tokyo, Pizzala — ouais bof. A deux pas de mon appart' dans le XIXe, il y avait — il y a probablement toujours, d'ailleurs — une merveille de pizzeria. J'en ai des envies, parfois. Là, j'espère juste que cela n'égalera pas mes craintes.

Puisqu'on parle d'italippon, je fus bien déçu par, et sortai toujours en ayant encor un peu faim, des restaurants italiens (tenus par des Japonais) tentés par-ici. Alors que, par comparaison, on tomba parfois sur d'excellents restaus français (toujours tenus par autochtones). Allez savoir, Simone.


J'en ai ma claque de la télé en général, japonaise en particulier — la compagne la met en bruit de fond — , et pars parfois, quand plus fatigué que de coutume, se mettre au silence pour travailler, dans la pièce voisine.

On disait tantôt que les encouragements exacerbés et exclusifs allaient reprendre avec le WBC (World Baseball Classic) — ça me fait penser qu'on y eu sacrément droit aussi, dut fait des Oscars obtenus par l'Okuribito de Takita et le Tsukimi no Ie de Kato. Vraiment soûlant de revoir les mêmes reportages en boucle pendant des jours et des jours. J'aimerais bien éteindre la télé ; mais il en aurait une qui s'ennuierait. On arguerait l'étude du Japonais ? conneries, oui. La télé c'est une maladie, une peste, un virus. Vous remarquerez que je file une métaphore et mâche mes mots.

Sur ces quelques bêtises ! au boulot.