Ce jour, le manquant des trois premiers de la première série des "accidents" du sulfureux Shinoyama Kishin : white room (1991), qui fit son petit scandale à l'époque. Et, entre les deux donzelles des "accidents" 1 et 3, nous voici avec un bel homme en simple appareil, ancien boys-band, acteur, &c. : Matoko Masahiro — j'espère que vous n'avez pas déjà oublié l'oscarisé Okuribito...
C'est un très joli volume, noir et blanc de rigueur, dont l'impression sur papier brillant fut très réussie. En vérité, mon préféré de cette série — et quelques clichés.
Pour une fois que filles et gays ont ici de quoi se mettre quelque chose sous la dent...
; )
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