Vendredi soir. On rogne un peu sur le sommeil.
Le printemps est là, qui ressemble à l'été dont souvenir. C'est le bleu dès matin, et la nuit est fraîche encor.
Tout est calme au tour. Ça me va bien.
Deux tatamis furent changés sans frais tantôt, car des choses étranges inconnues y semblaient pousser. Ça sent le foin dans la chambre, qui me rappelle à nouveau l'été d'avant.
Occupé de réveil en coucher — pas le temps, agréable à ses heures, de l'ennui. Un peu de tout.
Du fait d'un lien inadvers, je me suis retrouvé — il y avait long — chez les Tropiques. J'avais complètement oublié l'avoir enlevé de ma liste de lecture, cause agacement systématique.
Il me rappelle un ancien copain, vélléité réflexive, qui part en vrille et tombe à terre, pour vouloir faire passer son sentiment pour de la logique, au moyen de mots compliqués. Volonté séductive, et incapable de penser droit. Du gâchis, quoi.
Bah, ce n'est pas très important.
Tiens, je remets quelque peu le nez dans le japonais, aux loisirs — c'est à dire, l'ors de mes quelques minutes de train. On s'aperçoit que quelques restes.
Le regret, entre temps, de n'être ubique, qu'on ne détaillera pas : mieux vaut n'être pas désœuvré.
Manque aussi, parfois, de ne faire ouvrage, comme en ancienne vie — couleurs et compagnie.
Bah, une chose ou deux à la fois.
Allez, repos.
"Je voudrais boire mais il faut dormir."
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