Dimanche au soir, lundi au matin — comme il plaira.
Petit bla de passage après ce bel après-midi ensoleillé — je trouvai tout de même le moyen d'aller à Namba / Ssinsaibashi, et l'on ne m'y reprendra plus. Pas même trouvé ce qu'on y cherchait.
Fortunément, tantôt vers midi, petit hanami et pic-nic sur le chemin qui même au temple tout proche. Et le bonheur du Pas Un Chat. Je ne sais où ils sont tous allés se fourrer — ou plutôt je sus où, un peu plus tard —, mais si cela se pouvait toujours passer ainsi, vous me verriez comblé. Ou presque. Parce que bon, il n'y a pas que les fleurs qui tombent à peine ouvertes, dans la vie : si l'on pouvait aussi ne pas me presser de cheminer...
Manqué : ce sont de vieilles fleurs de pruniers. Vu qu'on n'a presque pas encor touché aux clichés de Kooriyama, et qu'on est du groupe A, je vois mal comme on pourrait sortir des photos du jour !
La semaine a vite passé, entre nos diverses occupations. Le week-end prochain s'annonce chargé. Au moins y reverra-t-on une face appréciée.
Ah, et Ooshima Yasukatsu est à Osaka. C'est une bonne nouvelle, et pour samedi.
Entre temps, il faudra retourner aux impôts. Voilà ce que c'est que d'embaucher des baito pour enregistrer les déclarations. Tsss.
Ça avance, de l'autre côté.
AJB aussi. On y passe toujours autant de temps. Une chance que j'aime autant travailler sur le livre que les chercher. Maintenant il faut faire en sorte que cela croisse, que la motivation ne décroisse.
J'aurais bien aimé me faire un sushi, ce soir.
Allez, en futon.
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