Les omiyage, ce n'est pas bon que pour les autres : il faut également prendre soin de soi. C'est pourquoi, à chaque aller-retour à Tokyo, je me ramène une boite de Mametamago-chan.
La vitesse d'engloutissement de ce petit bonheur papillaire — expédié dans le train, le plus souvent — explique l'absence de photo de la bête.
Pas dit non plus qu'on puisse en prendre la fois prochaine : voyez par vous-mêmes !
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