Mercredi soir. Après les Enfants, c'était le tour du report de la Constitution. Voilà : il va falloir attendre trois mois avant les prochaines vacances.
On cherchait hier en vain, sur l'agenda, trois jours chômés en file pour, justement, filer à Okinawa — c'est la faute à une envie récurrente, et au dernier paru d'Asai Shimpei, 海辺の扉 (kaibe no tobira, la porte du rivage), qu'on listera un de ces jours.
À voir les derniers billets de ces pages, il semble qu'on ait plus à montrer qu'à dire, ce qui n'est pas forcément vrai — mais pas faux non plus. Eh.
Il fait bien humide, a plu, pleuvra.
Tantôt, tour de chine quasi-journalier. Arrêt momentanée de drache pour l'occasion, qui sait. Sinon, rien de spécial. Laissé passer pas mal de choses il y a quelques mois — bah.
On réfléchit à diverses choses, se documente pour d'autres.
R'envies de peinture, insatisfaites.
Il fait faim : cessons-là.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire