Bla de passe-en-douce.

Jeudi soir. Il est une heure du mat' et les piafs causent, dehors. Ben tiens.

Il fit bien chaud — et agréable. Petite pluie — prise en slalom.

Pas mal d'achats et réceptions de colis. On lève le pied, ne s'en fait plus.

Grippe à Tokyo. Vu qu'en fin de compte ça ne tue personne, au moins on voit comment se propage un virus grippal — ce dont tout le monde se fiche à l'habitude. Le discours officiel a changé : sensibilisation pour la prochaine pandémie.

Anecdote : un employé japonais aux ventes et un gros client vont en Chine pour affaire ; au retour, ils doivent noter les voyages effectués ces trois derniers mois ; il se trouve que le client voyage beaucoup, et qu'il est allé au Mexique ; au passage à l'immigration, il est sorti des rangs et mené dans une pièce à part — où on lui dit de rayer Mexique, sinon quarantaine. Il s'exécute, et passe le barrage.

Après on s'étonne.

Allez, repos.