Pouh, lundi déjà. Au soir, ou presque. C'est encor férié — mais quoi, déjà ? Ah oui, la verdure. Certain que s'il est un autre signe précurseur de l'été, c'est bien celui-ci : tout se vêt d'un vert sombre et touffu.
Allez, un coup de C'était mieux avant, doublé d'une splendide Généralisation.
On s'accommodait plutôt bien de la nature et des saisons, avant. Les Japonais en particulier y étaient très attachés. Sous une forme culturée, certes. À présent, à entendre les jérémiades des millions d'allergiques aux pollens et le sentiment ambivalent de trop-vivance estivale, il semble qu'ils la redoutent plus qu'autre chose. Faiblesse des corps Merci la science et la pouponnerie perpétuelle.
À part ça, le ciel se couvre — bientôt les pluies.
On avance dans le boulot. Penser aux anniversaires. Compromis de courses en couple — le casanier peut bien user d'une pause.
Deux mains ne suffisent pas. (Abandonné le souhait d'avoir plusieurs corps, d'être ubique.)
Les angles s'émoussent ; c'est et ce n'est pas une mauvaise chose. Souvenirs de commentaire et réaction à d'anciens propos miens, de la part de quelqu'un que j'aimerais beaucoup revoir — mais il est loin et très-occupé —, à propos de l'intransigence de la jeunesse. Ceci dit, m'est avis qu'elle prend juste d'autres formes — pour ceux qui n'ont pas baissé les bras.
Allez, on y retourne.
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