Vendredi, au matin, une fois n'est pas coutume, n'est-ce pas.
Ces deux derniers jours, temps et ratures parfaites, si n'était cette moindre chaleur au soir — j'attends encor de pouvoir bosser la nuit, fenêtre ouverte.
Les yeux ne suivent plus : il va falloir se reposer. On pourrait opter pour une sieste ?
Parenthèses.
À part ça, c'est à nouveau la panique avec cette grippe du cochon — tous les animaux y passeront bien un jour.
La pensée m'amuse, que le stade pandémique soit atteint, et que tout s'arrête, que les gens ne se bousculent plus au supermarché, dans le métro, dans la ville, que tout soit calme à nouveau.
Et m'aperçois que j'ai de sérieux penchants bucoliques — rien à voir avec Virgile.
1 commentaire:
Je viens de découvrir ton blog, tes photos sont très belles. Ayant passé quelques temps au Japon ça me rapelle pas mal de souvenirs et ça me donne surtout l'envie d'y retourner.
Enregistrer un commentaire