Dimanche au soir. Les jours sont longs et courts. Il fit beau.
Le désaccord du blanc et du gris, dans le billet précédent. Tss.
Cette idiotie d'air conditionné qui fonctionne à plein régime, train à l'arrêt, toutes portes ouvertes.
Et ça balance des mégots à terre, de vélo, à pied, sans l'ombre d'une hésitation. Il faudrait donner à la nue de balayeurs consciencieux une bonne semaine de vacances, que les peu-scrupuleux voient leur œuvre.
Au Japon à tout le moins comme ailleurs on aime les diplômes — manuels pour TOEIC et 英検 et autres à foison en train et Métro.
Tous ces tests et concours gages d'à-peu-près rien, sinon de savoir passer test ou concours. Maladie de l'académisme.
On fait tout un foin de la séparation des ordures, ça brûle ça ne brûle pas c'est en verre en métal en plastique — et ça finit dans le même sac, du releveur de poubelles.
Vague envie de créer un libellé Harubanashi ; mais non.
Ces piles qui ne désempilent. Vu le temps disponible, c'est un peu décourageant. Un par un ; mieux vaut n'y penser pas.
Il fait faim, on attend que les filles aient fini de s'amuser entre elles. Tss.
Envies de temps où "rien" — bien improbable : on court, on court.
Allez.
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