Bla d'Intermittence Et de Spectacle

Samedi, fin d'après-midi et de retour.

À part ça, fatigué mais d'humeur plutôt clémente. Comme le temps, très chaud depuis une paire de jours.

Quand la damnée machine fonctionne, un peu l'impression d'être dans un lieu méconnu, moins chez soi que dans une banque, un conbini, ou dans un train. Bah.

Lundi c'est jour de mer.


Quelques nouvelles sans surprise ?

Bonjour M. Monopole. Vous en reprendrez bien une petite pour la route, non ?
D'où ça sort "Le Japon a interdit la cigarette dans la plupart des lieux publics" ? Comme si Starbucks c'était le Japon. J'vous jure.
Souriez, complètement psychosés. Ou porter le masque, à longueur de journée.

Rien de très-important, quoi.


Après ça, boulot. Demain, on ira peut-être — une fois n'est pas coutume — jeter un œil sur le festival de Sumiyoshi-taisha (dont je recommande par ailleurs la visite en tout temps).

Lundi, comme on disait, c'est jour de mer et de chôme, et — c'est une première —, on a de la visite de Tokyo-Setagaya-Komazawa. N & M viennent pour le boulot — séminaire pour leurs "enfants" stylistes — ; mais c'est mieux que rien.

Grand-dommage, cause heure d'arrivée tardive, qu'on ne puisse les mener chez Higuchi — on se faisait un plaisir de. Bah, n'attendre rien.


Comme disait en substance quelqu'un (Senbei ?) que je cite, Je me cite donc je radote — pas grand-chose à dire ? Il faut peut-être plutôt croire que c'est un signe d'une certaine routine, qui a ses bons côtés, en plus du fait de n'avoir qu'à linker, et de faire l'économie de l'explication : Vous pigez pas ? voyez supra. Ça me va.

Parce que bon, les gens sont déjà suffisament assistés comme ça : on ne va tout de même pas mâcher et donner la becquée, n'est-ce pas.

Allez.