Mercredi matin. Les cigales grésillent, la nuit aussi : c'est douce berceuse.
Le secret pour bien dormir, quand bien même il ferait chaud, moite, humide ? se coucher exténué.
Hier, coup de fil et bonne surprise : on ira probablement passer une paire de jours à Shirahama, mentionné par ailleurs dans le premier billet de la saga Wakayama. Voir les feux d'artifice.
Bien content de partir au vert ; même si cela veut dire du boulot qui s'entasse, s'empile et ne désemplit pas. On voulait aussi passer au centre d'immigration d'Osaka — et c'est toujours une expédition. Bah : la semaine prochaine.
À part ça, on se coupa les cheveux au réveil, ce matin. Ça me fait doucement sourire d'avoir tendance à dire, à présent, qu'ils étaient trop longs — les ayant portés parfois jusqu'à la taille, pendant presqu'une dizaine d'années. Eh.
Tiens, un billet sur les livres "anciens" japonais, ailleurs que chez soi — c'est trop rare pour n'être remarqué. Salutations à l'auteur s'il lit ces lignes.
Allez, temps de mettre le maillot de bain dans le sac, et l'appareil-photo.
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