Jeudi, au soir. Chaleur et fraîcheur, tour à tour. Petite pluie, hier : ça faisait long.
On se surprend à souvenir des gens croisés-aimés sis Paris, Tokyo, Belgrade, Wellfleet, Dublin, Strasbourg & ailleurs où vécu. Ces splendides vivants-morts — pour soi. Tout jour le souci et demi-regret de n'être qu'un. La littérature ne changera la donne ni l'affaire.
R'écrire à Alain — j'espère qu'il va bien. Long que nouvelles.
Il va bientôt falloir r'acheter une bibliothèque. Y en a une qui ne va pas être contente. Eh : )
Il va falloir prendre une matinée et expédier ces quelques textes, pour ici et AJB/blog, dont les idées traînent tant bien que mal en recoins mémoriels.
Petit tour chez suppaiku, et le thé est là.
Les remaniements de taille de page ont, bien entendu, bouleversé la mise en page de tout ce qui précède le passage à l'alignement central, il y a quelques paires de mois déjà. On s'attachera à cela au compte-goutte. Pas comme si on avait le choix de la manière, d'ailleurs. Eh.
C'est fin d'été, et les moustiques sont de retour — l'inconvénient d'avoir plein de rizières pas loin. Les moustiques ? Et les araignées alors ? je ne sais : perdu le lien vers le mp3 — c'est que ça date, Paradoxe. On r'écoute les compos de temps à autres. Que deviennent JF & JC ? ... Qu'est-ce qu'on a pu être paumé en — 2003 ? 4 ? 5 ? Sans nos cahiers, la perception se fait diablement relative — peu de dates en mémoire. Tout est comprimé en quelques centimètres carrés et moultes circonvolutions.
Allez, un autre thé, et — qu'est-ce qu'on fait encor ici ? au boulot.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire