Bla de temps Et fleurs


C'est moins le goût que l'odeur du café moulu, qui s'échappe du paquet à présent ouvert.

C'est mercredi matin, il fait chaud, un peu fatigue, et quelques fleurs ce jour.

À reprendre le rhythme, on constate à quel point c'est difficile de tenir deux fronts. De l'utilité des capitaines de la garde. Où sont-ils ? Et les ennemis ? les alliés ?


Je suis toujours étonné, et un peu déçu, l'ors que je regarde d'où viennent les gens qui passent ici, de voir en tête les mots-clefs de "fillette nue" et une image de paire de seins. Il semble bien qu'internet ne soit qu'une mine de sexe imagier et textuel, et que toutes ces recherches et heures passées ne soient peut-être qu'un indice de manque, de frustration, et d'inadéquation entre le social occidental et l'animal humain. Il n'y pas pas que ça, certes ; mais mais mais.

L'intéressement guide les mains. Quel est l'intérêt de l'intérêt ? Allez savoir.


Les préparations n'avancent pas, et le temps rapide et court. Désordre mental relatif — la priorité des choses ? je ne sais plus bien.

Encore une image étrange, le temps. Masse, forces et entropie d'un côté ; urgence et Tu dois plus vite, de l'autre. Ou quelque chose qui y ressemble.

J'aime de moins en moins la ville, le bruit, le monde, la course, la suractivité, l'avarice dépensière. Combat entre presse et paresse, qui s'apparenterait à une improbable démission.


Mmmh, je voulais dire d'autres choses ; mais faute d'avoir papier sous main, l'on oublie. La tête n'est occupée que par ci-présent, et la suite immédiate, les choses qu'il faut que.

Est-ce Kuroneko ou la Poste japonaise, qui enfourne forcé les colis dans la boîte ? Encore des gens qui font peu de cas de leur office. Pas vu pas pris — règle de vie nippone aussi.

Ça me fait penser à ce reportage, vu il y a quelques semaines, sur les déchets dans la montagne, au détour d'un virage, dans le touffu, sous la terre.

Allez, douche, Poste, tri.


Aucun commentaire: