Mardi matin. On court un peu partout, en faisant pas mal de sur-place. Eh.
Quelques changements mineurs, hier, au matin, au soir, sur ces pages. Y a encore du boulot ; mais le temps manque et presse ! Étoffer, détailler les catégories. Faire quelque chose de cette barre verticale, longue et impratique.
Les suggestions sont bien-venues, par ailleurs. À s'occuper de mille choses en même temps, voilà ce que ça donne — une sorte d'incapacité à voir à plus de trois mètres. C'est pas comme si on n'était habitué : la myopie ça nous connaît. Alors quoi, la malédiction du dilettante perfectionniste ?
En plein dans les réservations d'hôtels, de ryokan, d'onsen, dans les cartes d'invitation &c. — en plus de tout le reste, bien entendu. Si l'on s'y prend bien tard, c'est qu'il y eut quelque autre événement un peu moins réjouissant. On n'y peut pas grand-chose.
Hier, un grand vent de nord a soufflé sur Sakai, apportant au soir la fraîcheur, emportant au loin l'humidité : bien agréable. Le soleil tape dur encor, et se couche en splendeur.
Comme un peu partout ailleurs dans l'hémisphère, j'imagine.
Commencé un petit cours de poésie avec K-san : bien agréable de s'y re-plonger et mettre. C'est comme tout : commencer par la forme — car comment comprendre le Travers si l'on ne connaît la Règle ?
On traîne, en revanche, dans la préparation des imprimés pour le groupe des papys-mamies... Bah, demain ? dernier délai.
Allez, au charbon immatériel.
Persévérer.
2 commentaires:
Salut l'ami
je dirai simplement que le mieux est parfois l'ennemi du bien ;)
Hello Kiji — tu veux dire que tu préférais avant ? Ton avis m'intéresse : du concret ! ; )
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