Dimanche, au matin — se hâter, sinon ces quelques jours chômés passeront en clin d'œil. Paradoxe de la presse active...
Soleil infiniment agréable, derrière la porte-fenêtre, ouverte.
Il est dix heures, et dehors, un groupe de partisans / fanatiques politiques s'égosille, en formation, d'une courte litanie criée par le chef de file, appuyée par l'écho du reste de la troupe. Si cela n'a pas un air de secte... On vient d'en prendre un enregistrement, for the sake of it. Je le mets dans un billet différent, à fin de ne gâcher pas celui-ci.
Par ailleurs, les camionnettes à haut-parleurs sont particulièrement actives, ces derniers jours. La régulation de la pollution sonore n'est, semble-t-il, au programme et agenda d'aucun parti. À chaque fois que j'entends un nom, c'est un nom de plus qui s'ajoute à la liste mentale des gens pour qui je ne voterai pas. Si je votais, hein.
Dans un tout autre registre, plus textile et artistique, Fyn et ses demoiselles ont débuté une nouvelle exposition, hier. Si vous êtes dans les environs de Honmachi, Osaka, allez donc jeter un œil. Informations en suite du lien.
Ce jour, Osaka-centre au programme — il y avait fort-long —, entre autres pour la sus-dite. Bouquins, aussi, j'imagine, si la flemme ne prend.
Report à jeudi, du dépôt de demande de renouvellement / changement de visa, cause document manquant. Ces jours fériés consécutifs, sous cet aspect, tombent diablement mal : ça presse et stresse. Ça m'ennuierait un peu de ne pouvoir assister à ma cérémonie de mariage.
Entre hier et le jour d'huy, deux fracassantes encontres avec les chambranles de diverses portes de l'appartement, particulièrement naines. J'oubliais les portes des placards. Ça lasse.
Vivent les tomates en conserve — n'avoir pas à sortir un euro / une centaine de yens pour une tomate japonaise sans aucun goût. Et spaghetti-bolognaise aux shiitake.
Allez, trucs à faire.
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