Vendredi soir. Pas guère fâché de voir cette semaine se terminer — pour une fois pas de cours demain.
La chaleur est de retour, ce qui m'épuise et réjouit : c'est temps à sieste, qu'on ne peut exactement se permettre. Temps de lever le pied quelque peu ?
Hier mairie, et les papiers. Il y a toujours une suite à la suite — la paperasse est un travail perpétuel.
Ce matin, tri dans les photos d'août : il fallait faire de la place sur le disque dur, ridiculement petit pour la masse de choses qu'il devrait contenir. Un DDE est en rescousse ; mais ce n'est pas pareil. Un Mars pour le MacBook, un de ces quatre matins ?
Comme on est prompt, pour une rancune déplacée, un sentiment de travers, à oublier les choses dues, données, offertes, le temps vécu et bons moments. Il est des femmes pour s'étonner de l'interdiction d'entrer aux femmes, en prisons et monastères. Paix et amende, c'est d'abord avec soi qu'on les fait. En suite connexe, d'aucuns me diront qu'un coup de bite en cul, au contraire d'un coup de bite en con, ça n'a jamais fait de mal à personne. Reste qu'on a bien dû tuer pour un mignon ; )
Il y a un an,
c'était light poetry et les étoiles manquantes.
Le temps passe vite, comme à l'habitude ; la pile des missives en attente de réponse ne désemplit. On aimerait passer plus de temps à cela — comme ces gens qui le matin travaillaient, puis s'occupaient de leur correspondance tout le reste du jour.
La rentrée littéraire de Gwen me plaît assez. Voir les autres billets de la série. Je ne sais si cela se poursuit. Un bien agréable emploi du temps, qu'elle a.
Avec le cours du jeudi, on se replonge un peu dans Aragon et Tzara : il y avait long.
On y retourne.
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