Festival again File Faux frimas Et bla


Vendredi c'est la nuit. Amputation de la semaine grise — ou d'argent, si l'on veut être poli — cause boulot demain. Et diverses autres choses.

Je médisais, et ressortai les tongs,
dépends sans choix de gens, et mal m'en prend — comme souvent,
croise les doigts, parfois.

Si l'hiver doit arriver, qu'il soit froid et de neige, qu'on puisse prendre quelques jolies photos — puisqu'on devra se les geler, autant qu'il y ait compensation. Je sens que je ne serai exaucé. Bah.


Ces replonges en eaux anciennes m'étonnent parfois. Comme dans le vrai cahier — malgré le mal que j'en dis, ces pages remplissent tout de même leur office. Allez.

Il y a un an, c'était Lehmann Impolitiquement correct Rousseau ABC3D en vidéo Ururun.
Il y a deux ans, c'était attente et rencontre.

C'est à nouveau saison festivalière : partout les loupiotes se plantent et s'allument, en attendant les danjiri. Enfin, partout... — c'est là qu'on voit où subsiste une part de vie de quartier, et les ères nouvelles ou résidentielles, où l'on vient planter sa tente de bois pour être tranquille indérangé, n'ont pas le leur, faute de manquer d'entrain, de cœur. Marchés ouverts et fêtes : les derniers baromètres.


D'aucuns ferment leur fenêtre, chaque année maintes fois, et pestent contre le bruit d'un soir. Qu'en penser ?

Mon voisin est probablement un retraité qui construit des meubles pour arrondir la retraite. Sur le balcon — les produits toxiques à l'intérieur, ça le fait moyen. N'empêche que le tour en profite. Et de la perceuse, du marteau. Là il y a matière à râler. Comment fait-il l'hiver ? on saura sous peu. Pour le moment, c'est tout les jours, et fatigue un poil, parfois.

Envies contradictoires de Tokyo et des gens laissés là-bas, et d'îles peu ou prou tropicales.

Persévérons.


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