Un autre jour d'été, où l'on arrivait bien en avance, on se prit à faire long détour, grimper colline, et flâner parmi petites rues et grandes artères.
Maisons vieilles et moins vieilles, de même que les gens, parfois.
Ne penser pas à l'araignée qui tissa la toile.
Ah ? non, ce n'est qu'une grand-mère.
Choses d'impasses.
Et toujours ces fascinantes sommations d'arrêt.
Et une bien jolie petite pas si petite, en numéro d'équilibriste, absorbée qu'elle est, à vélo, par la rédaction d'un e-mail sur le téléphone portable.
Dès qu'on sort de la ville-ville, les trottoirs se font plus rares — et très souvent l'on marche au-dessus du tout-à-l'égout, recouvert par de lourdes plaques de métal.
Le Tchitchikov de Gogol est passé par-là ?
Cherchez l'erreur dans la photo suivante.
Si vous ne voyez pas vous êtes vraiment nuls, peuh !
(Provocation gratuite)
Pylônes et cheminées — on est de retour vers les zones par soi déjà parcourues.
Une architecture détonante, au passage, sur un coin. Qui a mal vieilli.
L'un des nouveaux lotissements. Ils font penser à un Disneyland fantôme, propre, réglé, identique et vide.
Un peu plus loin, les rizières : c'est la saison des grenouilles.
Tu me cherches ?
Parce que si tu me cherches tu vas me trouver, hein.
Et Jésus leur dit : Multipliez-vous !
C'est fini les amis.
La première partie est toujours là, si vous ne savez que faire.
2 commentaires:
Aaaah non, il n'y a pas d'erreur sur la photo. Ca s'appelle du "quotidien". Mais je n'aime pas non plus ce "quotidien" là. :o)
M.
fotos e vídeos fantásticos...
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