Vendredi soir, au retour, et petit clin d'œil, avec l'horizon marin et Shirahama, à Yamazaki Hiroshi ou à Sugimoto Hiroshi, au choix et sans conséquence. Il y en aura d'autres, un autre jour, pas si lointain.
Je disais hier — ou avant-hier ? — combien ç'avait rafraîchi. Redoux ce jour, bien a tombé. (Je serais curieux de savoir qui comprend cette expression, qui ne semble pas avoir passé la Somme.) Impression persistante, néanmoins, que l'automne est arrivé en une nuit. Catastrophe : il va falloir abandonner tongs et short.
Enfin bon, on ne va pas parler de l'absence de pluie et du beau temps à tout bout de champ. Même si l'homme, c'est un peu une plante. Qui marche.
Une feuille de laurier dans mon curry. Je sais, minuit et des brouettes, c'est pas une heure pour dîner ; mais j'y peux rien.
Vendredi soir et commencement de fin de semaine : c'est la crise, voyez-vous, on ne travaille plus le samedi. Hatoyama-san, faites quelque chose, voulez-vous ? (Comme si l'on n'est pas ce qu'on fait.)
Comment se fait-il qu'il soit si peu de femmes photographes de renom, peintres, artistes et que sais-je, au Japon comme ailleurs, qui parviennent à laisser trace reconnue ? — par qui par quoi, c'est autre chose et question. Ce soir je m'en fiche un peu.
Envies d'arrêter des choses, en reprendre d'autres. Faire ce sugoroku pour les gamins de Shimohyogo. Répondre à K, M, P. Lettre pour A. Se lever tôt.
Vouloir et pouvoir Laisser passer et peu importe Pas la grande pêche
Il est tard C'est fatigue et routine quotidienne Demain c'est 49 jours Penser aux fleurs Une impression certaine d'écrire dans le vide
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