Dimanche et nuit.
La p'tit' laine est pas d'trop, l'soir. C'est qu'l'été c'est ben fini. Et il a bô fair'chaud tout l'jour, ça caille un'fois qu'eul'soleil est pu là.
Au retour d'un excellent tonkatsu, qui demeure fort-probablement mon plat préféré.
On grignotte une glace — le monaka vous connaissez ? Dommage qu'on ne puisse acheter tout cela qu'à l'unité. En vérité c'est de l'entubage pour pas un rond.
On est allé faire un tour chez le coiffeur, ce matin — un peu poussé par la compagne, il est vrai. Mine de rien, cela faisait bien deux ans qu'on n'y avait mis les pieds — la dernière fois c'était chez mon vélo préféré.
Eh bien je vous le dis : Sakai c'est pas Harajuku ; mais c'était couru d'avance. Seul point positif : le porte-monnaie ne s'allégea que de 1.500 yens. Et mine de rien (bis), vu les temps qui courent, vitement ou lentement c'est selon, c'est toujours ça de pris, étant donné que les dépenses de coiffeur entrent chez moi dans la case plus-que-superflu : c'est qu'on n'est jamais mieux servi que par soi-même.
Et puis on peut trouver un livre sympa, pour 1.500 yens. Si si.
Et ci — Au Japon de Sakai : eau, fils, père, envers, M, L'horloge au quart rit.
Et là — arrivées, départs, Strasbourg en passant.
Et j'espère que vous avez tous pu admirer l'envol de petites culottes !
Allez, puisque Shio ne veut mater Le Bon, la Brute et le Truand, reprenons le boulot.
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