C'est mardi, bruine et ciel bas et blanc, quelque fatigue et courbatures — on traîne trop au soir, à ne pas forcément faire grand-chose d'ailleurs. Clope, café, yeux mi-clos.
Samedi ce fut couche à 22 h et des brouettes, résultante lever dominical à 6 h : un long matin a fière allure, et l'impression d'avancer dans nos choses.
...
C'était mardi, et vendredi à présent — le temps file et défile, ça presse et court et pousse et part on ne sait où.
C'était matin et là c'est soir ; c'était café c'est umeshu.
Un typhon nous atterrit sur le coin de l'immeuble — on essuya bien quelque pluie pendant deux jours, et bien dormait l'ors de la chamboule.
Comme la météo a toujours tout faux et que, faute de moins pire, tout le monde la prend au mot, après les jours de chôme forcée pour cause de grippe pour certains, vint la vacance pour cause de typhon, qui arrivait avec une demie journée d'avance, et finalement beau temps ce jour. Eh.
Jours longs et rapides, comme coutume, préparatifs retardataires pour la famille de France qui passe bien-tôt, pour la première fois, en terre de Japon. C'est toujours étrange et fort, les premières fois. Truisme valable pour à peu près tout ?
Passage en coup de vent, comme souvent, on aimerait pouvoir s'occuper plus de ces pages et d'autres pages.
Demain aura-t-on visa mention bien ou passable ? L'aura-t-on tout court ? Ça m'indisposerait de chuter...
Le futon attend. Coup de vent, vous dis-je.
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