Mercredi, au soir.
Encore quelques miettes digitales... de mai. Je sais, je sais ; mais pas le temps.
La presse s'accélère à mesure que les dates d'arrivées familiales approchent, et les choses à faire, en sus des habituelles.
Soleil et ciel splendide et bleu, ce jour encor — tempête d'éclairs et tempête-éclair mise à part, au soir. Occasion impromptue, lundi et férié, de marche du côté de Suda et de Sudahachimanjinja, à nouveau. Poussé un peu plus loin, avec bon heur, que la fois dernière. On dormit dans le train du retour, couvant rhume. Relat dans un billet prochain, ou lointain, plus probablement.
Bribes d'aperçus. Ou pas.
Ces gamins avec le t-shirt du RIP Soccer Club (sic) portant un bel halo, vierge marie et une inscription en arabe sur le devant.
Ce garçon qui plaque ses mains sur cheveux et mèches à chaque passage de train, à fin d'éviter le drame de la décoiffe. Il doit y passer du temps, chaque matin. Le Règne de l'Apprêt.
C'est l'histoire d'un homme qui va au soapland, demande une nouvelle, et tombe sur sa femme.
Ça doit bien arriver.
Rétro-truc semi-quotidien.
Il y a un an, c'était apprêt, cil et mot, lunes, Fyn, blogs, Japon féodal, et livres.
Il y a deux ans, ... derniers amusements parisiens ?
Comme souvent, on ne fait que passer — et pause forcée la semaine prochaine.
Les contraintes m'indisposent !
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