Samedi, fin d'après-midi. Temps splendide : bien agréable. Dommage que boulot ce matin. Un peu de livres en début d'après-midi. Et là c'est grosse fatigue, donc on passe par ici.
Encor quelques restes digi-pelliculaires. Promis j'arrête la casse, la prochaine fois, peut-être.
Sortie ce soir, une fois n'est coutume — on ne sait encor où, se laissant entraîner.
Hier passé au Carré du Cosmos, et mention bien (3 ans) — ça soulage. On s'attend à présent à tout moment à une visite impromptue des agents-voyeurs de l'immigration, qui demanderont la couleurs de nos brosses à dents, nos dates d'anniversaire, combien souvent l'on baise, et iront vérifier que les préservatifs ne sont rangés pas trop loin de ses serviettes, mes caleçons de ses chaussettes, ma carte de retrait de son carnet de banque.
On peut en lire des vertes et des pas mûres sur le toujours buzzing, souvent instructif et parfois parano debito.org.
Ça me donne l'idée — allez savoir pourquoi — que les langues, c'est un peu comme les groupes sanguins. Prenez l'anglais : ce serait le groupe O : les natifs anglophones peuvent donner à tout le monde, mais il y a rejet des autres langues. Le japonais, ce serait AB, les natifs ne pouvant communiquer qu'entre eux... À creuser ?
Séance régressive.
Il y a un an, c'était Shirasagi Park, alcool de prune, rizière et grenouille, eau verte, fin des douches froides, uniformes, pater-maternité, visa, blogs, photos, coup de gueule, blog encor, iwashigumo, kinmokusei et terrain vague.
Il y a deux ans, c'était visites et préparations.
Allez, deux-trois trucs à faire, et l'on ne désespère pas de pouvoir siester un peu.
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