À Wakayama il est des montagnes. Je vais pas me répéter.
Et d'la mer aussi. Par exemple à Shirahama (白浜). (On y allait en petit avion.)
Et d'la plage, comme le nom l'indique.
Virée estivale à la traîne.
Ç'a dû être un lieu fabuleux. Il y a encor une centaine d'années, hein.
À présent le littoral est rongé par le macadam et les barres de verre et de métal. Un peu comme partout.
Moulte occasion de clin d'œil à Yamazaki Hiroshi et à Sugimoto Hiroshi. C'est pas de ma faute s'ils ont le même prénom : le pool de noms et prénoms japonais est diablement restreint. Pas d'imagination, il faut croire. C'est pas grave si vous ne connaissez pas.
Je voudrais un truc comme ça, avec rien ni personne autour.
Il y a un aéroport (il fallait cliquer sur le lien plus haut, dommage), et une gare, où les employés sont en tenue hawaïenne. Ridicule. Mais probablement plus facile à porter, par grosse chaleur. Due aux bikinis ? Tss, pensez-vous.
La résidence datait, clinquant des années 80, un peu terni, de vieilles bornes d'arcades où l'on s'essaya même à mettre quelques centaines de yens, une source d'eau chaude privée en sous-sol, une vague odeur de tabac froid dans le hall, et des cendriers.
Petit hommage à Asai Shimpei, ce coup-ci. C'est pas grave si vous ne connaissez pas.
Dans le puits il y a de la moquette
et du couloir bleu.
En passant, j'aime bien les photos d'arrivée en avion — au choix : couleur ou noir.
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