Dimanche, fin de matinée. Couvert, le ciel de nuage, moi de couverture d'un vert douteux.
Il a beau faire soleil, le froid nocturne et maisonnier gâche tout. Chopé un rhume. Manquait plus que ça. On se vide par le nez. C'est pas drôle.
Du coup, on ne profite pas vraiment de ce samedi posé et de ce weekend de trois jours. Tête en compote.
Brèves ?
Amusant, comme chaque nouvelle personne qui entre en wagon s'assied à la place libre la plus éloignée possible de celle des gens déjà là. Étude de la distance, de la symétrie humaine.
Le nouvel éditeur de Blogger pèche pour la gestion d'un nombre un peu plus important de photos. Au-delà de quatre-huit clichés par billet, il faut faire des avancer-retourner, fenêtre pop-up à ouvrir-fermer, on ne sait vraiment plus où on en est. Retour à l'ancien éditeur pour les plâtrées picturales.
Je repensais, je ne sais plus pourquoi, à l'aéroport international du Kansaï. Les départs à l'international sont au 4ème, domestiques au 2ème, les arrivées au 1er — le rez-de-chaussée japonais : comptez à l'américaine. Victime de mimétisme bien-pensant, l'aéroport s'est doté d'une salle de verre close, étroite et glauque, donnant sur le pavé, pour fumeurs — uniquement au rez-de-chaussée. Quid du reste ? Les cendriers demeurent. Mystère du choix de localisation. Et peu importe ?
J'en parlais par hasard l'autre jour, et ils remettent ça — c'est ridicule.
Que penser des bouteilles en plastique ? pas grand-chose. Différence de prix certaine — 198 yens contre un millier pour l'homologue en verre, pour un professionnel. C'est pas terrible de toute façon. Et puis avec le froid, c'est plutôt propice au mugijochu en atsukan. J'dis ça j'dis rien.
Je repensais, je ne sais plus pourquoi, à l'aéroport international du Kansaï. Les départs à l'international sont au 4ème, domestiques au 2ème, les arrivées au 1er — le rez-de-chaussée japonais : comptez à l'américaine. Victime de mimétisme bien-pensant, l'aéroport s'est doté d'une salle de verre close, étroite et glauque, donnant sur le pavé, pour fumeurs — uniquement au rez-de-chaussée. Quid du reste ? Les cendriers demeurent. Mystère du choix de localisation. Et peu importe ?
J'en parlais par hasard l'autre jour, et ils remettent ça — c'est ridicule.
Que penser des bouteilles en plastique ? pas grand-chose. Différence de prix certaine — 198 yens contre un millier pour l'homologue en verre, pour un professionnel. C'est pas terrible de toute façon. Et puis avec le froid, c'est plutôt propice au mugijochu en atsukan. J'dis ça j'dis rien.
À tâtons, trouvé une sorte d'équilibre quotidien : rédaction des notices et photos au matin, cours, mise en ligne des notices au soir. Les jours sont longs et courts.
M'est avis qu'on ira faire emplette d'un kotatsu — sans trop savoir où on le mettra.
Jetez un œil sur ce que Suppaiku écrit. C'est un premier jet, bourré, entre autres, de bonnes idées narratives, un chouette moment de lecture. En quatre parties et billets.
Allez, au boulot ! malgré tout.
M'est avis qu'on ira faire emplette d'un kotatsu — sans trop savoir où on le mettra.
Jetez un œil sur ce que Suppaiku écrit. C'est un premier jet, bourré, entre autres, de bonnes idées narratives, un chouette moment de lecture. En quatre parties et billets.
Allez, au boulot ! malgré tout.
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