Mardi, début d'après-midi.
Impression résiduelle de lundi. Hier fortunément férié, et grand-soleil, contrairement à ce jour, gris et froid. C'est la course.
Meilleur moment de chaque jour : le passage en douche chaude.
Dans les oreilles, ce jour : Symphony X, Oshima Yasukatsu, Paganini.
Dans les yeux : plein de choses. Liste trop longue : flemme.
Le tri des photos stagne — celui de celles d'octobre n'a pas évolué d'un pouce ou pixel. Les notices de livres avancent un peu — on se prépare, aussi, pour quand on n'aura plus une minute, pendant un mois avec quelques trous, à partir de demain : retour à Wakayama au matin.
Restau coréen avec S et Emi, l'autre jour, qui va bien, ça fait plaisir, diverseries conversationnelles, souvent drôles. On sort vraiment une fois tous les 36 du mois.
À regarder le public des émissions télévisées japonaises, souvent 100% de femmes. Quand il y a un public.
On se demande s'il y a un sur-titrage ou prompteur, pour les rires, les Oooh, les Eeeeh, &c. Quand il ne sont pas pré-enregistrés.
L'heure marche, avance, court et vole. On pense au lapin d'Alice et blanc.
Besoin de trois jours de congé par semaine, pour faire ce qu'on devrait. Il ne faut pas rêver, plutôt rogner sur le sommeil.
Je n'aime pas la nuit quand elle est froide. Penser à l'été pas si prochain.
C'est l'empresse : direction banque, Poste, courses, avant cours. Rechercher les horaires des trains pour demain — je ne suis vraiment plus du matin : ça va faire mal m'est avis.
Allez hop !
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