Allez, histoire d'assommer quelque peu d'une ribambelle d'images, prises à l'occasion d'une désenvie de métro et marche rapide, de Namba à Honmachi.
Prêts ?
L'histoire commence avec un Tomare.
Il y a foule du côté de Namba — c'est centre de commerce en tout genre, le luxe en artère.
Sortie, rdv, néons et strass.
Entre filles / Entre hommes.
Parfois choses galantes, et choses de passe.
Ça circule et empoisonne.
Ça marche.
Ça passe.
Lèche et vitrine.
Ça roule.
Poupée immobile.
Vélocypèdes à toute vitesse.
Une lueur dans la nuit, et Pomme.
Des immeubles en chope de bière.
Les travaux et les ombres.
Les retours, les venues.
Les attentes en bord de route.
Et miroirs impromptus.
La verdure précieuse.
Et l'antique en coin de rue.
2 x 2
La Scandinavie s'exporte à prix d'or.
Et Namba-jinja ferme au soir.
Aux allures hantées.
Alors que les distributeurs automatiques de boissons, de clopes et de ramen
font le tour du cadran sans heure supplémentaire.
Art : moderne, contemporain, pop, aqua-végétal ?
L'avantage donné par la pénombre.
D'étroits passages
aux airs passés, fausses lueurs
et gros grain noir.
Sol
et sur.
Éclat électrique
et Bakeneko.
On grimpe.
On grimpe.
Dimension Hard-Rock de foire.
On marche.
Ça pousse.
On marche.
On marche.
C'est vide.
On marche.
Zone bureautique en absence.
Ça pousse.
De verre et de métal.
Section.
Section.
Arrivée.
Tomare.
Tomatta.
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