Mercredi, au matin.
Air glacial venu d'on-ne-sait-où — probablement de là où il fait froid, hein —, ces derniers jours. Éclaircies et averses.
On reprend la pratique des cahiers en train, vu qu'on n'a plus d'Harry Potter à se mettre sous la dent, le coude ou l'œil. Du coup, étude des kanji à zéro. Bah, un autre jour. On aimerait aussi faire un photobook et un catalogue ; mais pour ça, le train n'est pas l'idéal. Grapiller sur le sommeil, encore, encore.
Les articles sur gambaru et otaku avancent, bâclés vu le loisir immense dont on dispose. Restent les photos — qui n'auront probablement rien à voir : pas que ça à faire, hein.
Les "jeunes" qui écoutent de la musique à plein volume en train, gagnent même la simili-cambrousse de la banlieue-sud d'Osaka. Où va-t-on, hein, ma bonne dame ?
Froid. Je sens qu'on ne va tarder pas à sortir du sac du pressing le long manteau noir. Histoire d'avoir vraiment l'air d'un exhibitionniste. Non, je plaisante : les exhibi marchent courbés. Et puis j'ai déjà fait le coup pour un carnaval à Strasbourg en 1998. Mais j'avais tout de même un caleçon et des bottes de cowboy. Enfin bref. On va arrêter de s'enfoncer.
À lire Sembei, il semble qu'il y ait profil en partage : le gourmand, qui a peu confiance en soi, bouge quand il a décidé de, peu de penchant pour plan de foire et imbroglio, malgré une fascination pour l'autre sexe. Amusantes ressemblances.
À part ça, retard dans la correspondance, épistolaire et courrielle. Qu'on ferait mieux d'expédier au lieu de taper des inepties ici, entre deux enchères et morceaux de Vanden Plas.
Courriel — le nom commun n'est déjà pas fantastique ; l'adjectif est, comment dire ?
En revanche, le retard dans le tri et l'altération des photos se comble peu à peu : plus que deux centaines pour octobre. Restera à water-marquer et mettre tout cela en ligne. Qu'est-ce qu'on peut abattre comme boulot inutile. On ferait mieux de donner tout cela à tirer. Hâte de.
En parlant de hâte, vague impression, tout de même, de saloper ce tantôt, en particulier la modification des photos — par ailleurs et pour le coup l'étape la plus importante, vu la piètre qualité du matériel. C'est pas grave : pas besoin de trucs chers, juste besoin d'un peu de temps.
Ah, un trépied, j'aimerais bien, tout de même.
Enfin bref.
Envie de noir intense en photo.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire