Samedi, qui passa on ne sait où, et soir.
C'est bientôt noël et qu'on le veuille ou non, on nous le fait bien sentir : ridicules décorations des devantures d'échoppes, et depuis un peu plus une semaine un disque de chansons jazzy-bluesy qui tourne en boucle dans la galerie marchande de la station qu'on emprunte tous jours. On s'en passerait bien. D'autant plus que cela ne signifie strictement rien dans le coin — à part un bout de rêve encor pour certains gamins ? — et que tout disparaît au 26 décembre pour faire place aux décorations de nouvel an.
À y réfléchir deux secondes, la seule chose qui manque un peu, c'est l'odeur du sapin dans la maison, et la cheminée embrasée qui va avec. Allez donc trouver l'une ou l'autre au Japon...
Avant-hier endormi, sans y prendre garde, épuisé, dans le canapé au retour et soir, pour se réveiller trois heures plus tard. Une première. Bah.
Hier pluie et pluie, pas très-amusant.
Bien envie d'aller faire un tour à Tokyo : il y a long que. Pas des masses de vacances tout de même, et c'est toujours les mêmes qui se déplacent. Réserver les choses pour Okinawa en avril, histoire de poser des vacances ; de même pour le retour en France fin août, début septembre, histoire d'être là pour le mariage de Pierre et la braderie. Quelle tristesse de devoir prévoir six mois, un an à l'avance, et de tuer tout impromptu.
Enfin bref. De tout de rien ?
Vous voulez voir à quoi ça r'semble, le patois Ch'ti ? in 'tit ch'tour au Ch'ti Blog.
Un lien récupéré par un autre, à parcourir sans faute : les beaux gosses exécutifs. Ça en jette.
La compagne rentre sous peu ; on a rien foutu du jour, de ce qu'on aurait bien aimé. Désenvie générale — je crois bien que ce soir non plus.
Allez !
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