Mercles al morgenat.
Al nuvo Posta fer S. — flat l'vacans. Do jors d'repis more per ça.
Ya ben frio ci asa. R'afriola vaca ci derner die, sembla lo. E pa l'Sibrie nan po. Nan kon quière aller lo-bo. Ça pena tutti faci. Gr'envie d'caberner.
Halten ci, c'to fatig.
On disait juste que début d'année frileux. Clichés estivaux en compensation et revanche. L'atsukan d'hier au soir était vraiment de saison. Et la soupe de pommes de terre et lardons. Ceci dit, le peu d'alcool et de sommeil aidant, bon mal de crâne ce matin. Des vacances pour récupérer des vacances, SVP...
On ira probablement faire un tour en montagne et onsen de Wakayama, passer la nuit là-bas, ce week-end.
On avait déjà oublié que lundi c'est férié. Tous jours bien-venu.
Bien avancé dans la préparation des notices et billets — autant de choses qui ne seront plus à faire. Non qu'elles soient nécessaires. C'est peut-être là qu'il y a hic : on s'empêtre dans du superflu, et des choses.
Commencer les comptes pour les impôts. Quelle idiotie.
À la télé, hier soir, attaque en règle et lobotomisation en faveur des voitures électriques, nippones bien entendu. L'accent bien appuyé, sur le fait que les voitures étrangères, aussi performantes qu'elles soient, ne sont pas faites pour les routes et les gens d'ici. Quoi qu'il en soit, ici ou ailleurs, ce n'est pas pour l'environnement, la planète, les enfants, ou l'amour universel — juste pour de l'argent, n'est-ce pas. Juste offrir ce que d'autres ont soufflé à l'oreille des Gens.
France : Non, mais / Japon : Oui, oui (mais).
Vieille dichotomie qui veut tout et rien dire, n'est-ce pas. Et ce n'est pas très important.
On ne faisait que passer. Il faudrait siester.
Allez.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire