Jeudi, au matin.
Ça pleut, ça grisaille, pas très amusant, quoi. Hier, en revanche, grand-beau toute la journée : diablement agréable, et plutôt rentable, puisque le chauffage d'appoint — bel euphémisme, puisqu'il n'en est d'autre — fut superflu. Enfin bref, voilà pour les tempéries.
Question labeur, le jeudi se commence tard et se finit tard. Si K-san n'a ni ennui de santé ni heure supplémentaire — ce qui arrive tout de même de temps à autre. De très bonne compagnie, par ailleurs, et motivée, ce qui ne gâche rien.
Le cercle des coïncidences : un élève du groupe des papys-mamies, qui enseigne le japonais gratuitement aux étrangers dans un centre municipal, eut pour élève un Français nouvellement voisin qui me contacta récemment. Toujours amusantes, les coïncidences.
Vraiment curieuses dans leur persistance, ces éternelles querelles de clocher, politico-économiques et autres, et les irraisons des choix. Intérêts personnels derrière et sous le tout, expliquent beaucoup de choses.
Où sont ces quelques celles qui ? L'agrément de la réminiscence, et son amertume, un peu comme le goût du citron. L'étonnement quand le souvenir vient. La simplicité de la machine
Plus de 30 000 suicides au Japon pour la douzième année consécutive, dit-on. 30 000 pour 127 millions d'habitants, je trouve ça bien faible. Bah, on sait quoi penser des statistiques.
Un peu comme la peu surprenante différence entre les estimations de participation à telle manifestation, selon les organisateurs, selon les services de police.
Éditer les photos de janvier ! ...
En suite de Cowboy Bebop, repris 12-kokuki. Il y a vraiment de bonnes choses à regarder d'un œil à défaut des deux. Les jours sont trop courts pour faire une seule chose à la fois.
Dehors, dans les nuages. On se croirait en soirée. Bah, ça passera : comme à peu près tout.
Je crois bien que ces photos en grand format ne s'accordent pas avec celui de la page.
Allez, à la douche.
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