Mardi, au matin, presque passé, passé.
C'est gris, ça sent la pluie, dehors. Plutôt frais dedans. Mmmh.
Quelques clichés estivaux, histoire de se rappeler que la patience mène à l'été. Hâte d'ôter ces couches de tissu, hâte que la main droite revienne à la normale. Comme tout le monde, j'imagine, on se passerait bien de l'humidité et du froid.
Notices et déblai avancent ; il faudrait quelques meubles-étagères supplémentaires. Peu possible.
Je n'aime pas l'argent. M'est avis que la plupart des discordances ont leur origine dans la course au profit d'un côté, dans la lutte pour la survivance de l'autre. Que ce système, à l'origine des plus rationnels et logiques (pour un contrôle étatique centralisé et un gain de place et de temps pour la gestion des avoirs des plus riches), est devenu complètement absurde, cause d'instabilité macro et micro-économique, et de bien d'autres choses peu agréables ou heureuses.
Quelques fausses nouvelles ?
Bêtises de chair de baleine. Ils n'ont qu'à interdire sans concession et prendre mesure rétortives.
Il paraît que l'économie reprend. Eh.
Vivement que ces jeux olympiques finissent : la propagande commence à agacer. Par ailleurs, les attentes démesurées furent loin d'être comblées. Du coup, glorification des médailles passées... C'est tellement petit.
Ryôma se laisse voir, en revanche.
Bon, pas que ça à faire : à la douche, et boulot(s).
Quel inconvénient de se devoir raser la barbe chaque jour. Pratique et produits néfastes, qui plus est, m'est avis.
Allez.
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