Mercredi, au matin.
Hier, c'était un avant- ou après-goût d'été européen. On eut dû mal à se croire en février. Grand-soleil et peu de vent, on tenait en t-shirt dehors, à plus de 20°C. Je veux ça toute l'année.
Ce jour encore, matin vraiment superbe. Dommage qu'on ne puisse pleinement en profiter — par une longue marche, par exemple. Toutes portes-fenêtres ouvertes : magique.
Le manque de temps nous retient même de prendre des photos — rien qu'à envisager les heures qu'il faut passer pour l'édition et le tri, décourage. Dommage, une fois encore.
Cause de désenvie à laquelle s'ajoute l'incompétence et le vacanciérisme de mes deux patronnes, l'une considérant que l'école n'est destinée qu'à son fils et ne voit rien au-delà, l'autre femme au foyer étant d'avis que travailler pour une femme est scandaleux et qui, forcément, fait tout à moitié. Et encore.
Temps peut-être de chercher ailleurs. Ou d'augmenter la part des cours particuliers.
Tiens, on retourne censément à Wakayama : du fait des jours de prophylaxie grippaire, j'imagine que le fournisseur de services doit des jours à la municipalité, qui iraient aux plus petits. Tant mieux pour nous et le porte-feuille à vide, même si c'est plutôt éprouvant.
Impossibilité de prendre des notes mentales : on oublie, tout déborde et s'évapore, jusqu'à ce qu'une pensée de travers rappelle la chose à la mémoire, très-souvent à un moment impromptu, si bien qu'on oublie la chose à nouveau.
Jamais eu de chance, question timing. Bah, on s'y fait.
Ces senbei / sembés badigeonnés de glaçage au gingembre sont parfaits.
Grosses envies de fuir à Tokyo et retrouver des amis. On a tort de ne prendre pas le temps de. L'aller-retour n'est certes pas donné.
En douche : on commence tôt, ce jour.
Allez !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire