Faire avec Vélo Penser Et bla

Samedi, au matin.

Expédier le bla : un peu pressé ce jour encore.

C'est pourtant grand soleil — on s'accommoderait bien d'une sieste dans le parc voisin. Bah.

Retour tardif pour un samedi. Et collègues de la Poste à dîner, ce soir.

Faire avec ce qui arrive.

Plus remonté que jamais, à présent qu'on en use, contre les vélocypédistes japonais. C'est vraiment du n'importe quoi. On se demande vraiment ce qui passe par la tête des gens, à quoi ils pensent, quand ils montent à vélo. Probablement à rien, vu le degré de bêtise de la conduite.

Faute principale à la police / o-mawari-san, entend-on, qui ne sanctionne — le vélo est censé être soumis, ici comme à peu près partout ailleurs, aux mêmes règles que les automobiles. Faute à la police, vu que si l'homme — faute de preuve du contraire, on se permet d'assimiler le Japonais (et la Japonaise aussi d'ailleurs) à un homme comme les autres, malgré la logorrhée permanente dont ceux-ci nous abreuvent, comme quoi ils seraient à part et bla et bla — vu que si l'homme est laissé à lui-même, disais-je, eh bien c'est le bordel. Au sens dérivé du terme. C'est la faute à la police, ben oui, d'autant plus que les Japonais, en particulier, n'ont vraiment aucune jugeotte. Et à vélo, la stupidité — au sens propre — est flagrante. Et c'est agaçant bien comme il faut.

Pour titiller un Japonais, il suffit de dire que le Japon c'est la Chine. Eh bien là...

Ç'a peut-être lien avec leur grande enfance irréfléchie, immédiate ?

 Bah, peu importe. L'inertie ambiante décourage vraiment de penser un peu.

Il va falloir ralentir les achats — peu envie de ; mais les impôts vont arriver sous peu. Période peu réjouissante. Tiens, présenter un photobook dans ces pages, un de ces jours : long-temps que.

J'aime assez les photos de ce billet.

Allez, il faut se mettre en route.