Mercredi, au matin.
Je disais soleil ; et pluie, grisaille, hier. Je doute qu'il y ait concaténation ; il fait toutefois tellement beau ce matin qu'on va se taire. Ça c'est de la superstition. Ou alors c'est se moquer du monde ?
On tente d'avancer dans les photos sur une base plus régulière, quasi-quotidienne ces derniers temps : enfin attaqué les clichés d'Okinawa... Ça se trouve là, avant-ci, un jour ou l'autre.
Couché très tard hier soir ; on s'acharnait à expédier quelques autres petites choses ; mais c'est idiot, vu qu'on bosse mieux au matin. Enfin, pas celui-ci, du coup. Bah. On n'attend qu'une chose pour le moment : notre Golden Week étendue commence ce soir.
Tiens, la photo ci-dessus, c'est un appendice du vert au gris, à placer entre les deux, passée au travers des mailles de la recherche l'ors. Grand dommage en vérité. Jusqu'au jour où tout le vert ne sera plus que bitume.
Puisqu'on est dans une période de questionnement en tous sens, on se demande forcément ce que nous sont ces pages, ce blog. Un exercice et une discipline, certes, à rédiger — plus à la va-vite que pas, d'ailleurs — un billet de bla tous les deux jours, et à préparer, en alternance, des billets quelque peu plus thématiques. Le bla sert de second journal, outre celui de papier, qu'on rédige en train, plusieurs fois par jour, et dans lequel on ne dit pas les même choses, du fait même de la différence de fréquence, de support. C'est aussi une occasion d'écrire un peu de français, qu'on ne parle pas, sinon parfois à un niveau proche de l'école maternelle avec l'une ou l'autre.
Par ailleurs, on n'ira pas jusqu'à dire que le texte n'est ici que prétexte pour la photo ; mais celle-ci prend peut-être plus de temps encore — le tri, l'édition, le water-marquage, le choix, l'upload. Enfin bref.
On s'est relu, en ligne, Hunter x Hunter / HxH, ces derniers jours. C'est vraiment un très bon shonen manga, hautement recommandable, qui surprend toujours par la violence — non que cela touche à un Hokuto no Ken ; mais la "morale" y est souvent absente, et y règne un esprit tout animal, en tout cas peu compatible à nos belles sociétés, où loi et médecine sauvent ceux qui seraient morts depuis long si. On s'offrira la version papier un de ces quatre.
Reste que le Nightrain des Guns n'Roses reste un indétrônable classique qu'il nous prend l'envie d'écouter de temps à autre.
Ah, et une impressionnante vidéo, grâce à ma petite cousine : les tambours de Shimane, petit cadeau des oncles pour le mariage. C'est un groupe pro, dont j'ai oublié le nom, qui tourne à l'international, et ça vaut le détour.
Allez !
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