Mercredi, au matin.
Bien gris et plutôt mouillés, ces derniers jours.
Là, ça se tient pour le moment. Éclaircie, même. Un peu la tête en vrac ; mais c'est le lot de tout début de journée.
Tantôt, à la télé, vulgarisation ignorantime des vertus du miel, au Japon utilisé même en hôpital directement sur les plaies (déversement directement depuis le pot) pour qu'elles cicatrisent plus vite. Et les gens qui ne savent que quand le miel se cristallise, ça ne veut pas dire qu'il ne soit plus bon et qu'il faille le jeter. Sugooooi, Sutekiiiii. (...)
Hier soir, émission encensant les conbini — Lawson, Family Mart. D'utilité publique à en croire l'émission, puisqu'ils vont, grâce à leurs camions-supermarchés, jusqu'au fin fond des campagnes (montagnes) pour satisfaire les grand-mères de 87 ans qui habitent seules. Qui plus est, c'est quasiment de la cuisine comme à la maison, puisque même les obachan-tachi disent que leur riz est bon. Et si obanchan le dit...
C'était il n'y a pas si long temps que cela, la polémique qui faisait état de la surconsommation d'énergie des mêmes magasins, ouverts 24/24, et demandait la fermeture nocturne des échoppes convénientes...
À prendre un bain au matin, on n'arrive plus à rien en suite. Comme hier. S'abstenir.
La mémoire joue encore des tours, et on a logé un cours dimanche alors qu'on était censé aller dans la montagne cueillir je-ne-sais-plus-quoi. Si je n'écris pas j'oublie dans l'instant. Mon carnet, mon bloc-note, mon cahier noir, sont mes disques durs externes.
Et ces pages, que sont-elles ? mmmh.
Bah, on se posera la question un autre jour. En tout cas le lay-out ne me satisfait à nouveau plus. Pain sur la planche et potiron sous le paillasson.
Allez, au boulot.
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