Ce billet sent le vieux, le réchauffé, le déjà-vu, le rabâché, le recyclé.
C'est Nara.
On y allait, je ne sais plus : il y a long, à l'époque de l'argentique, et y retournait en octobre 2009, il fit diablement beau, on était avec la famille de France.
Tantôt, faute et flemme d'avoir des choses à dire, on commenta sur le commentaire.
J'oubliais de dire que le meilleur commentaire, c'est parfois de n'en faire pas.
Y aller.
Nara, il faut d'abord y aller.
Arrivé, des routes droites ou courbes mènent où l'on veut.
Arrêt à un temple sur le chemin des choses plus touristiques, le je-ne-sais-plus-quoi. Chouette, en tout cas. J'en veux un pareil.
Mos Burger survit à Nara. Contrairement à ceux de Sakai.
Sarusawa-ike et ses tortues. Qui font la joie des touristes de toutes nationalités.
Et au-delà s'étend le vaste parc de Nara...
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