Lundi, au matin.
Plafond de nuages, blancs — ça sent la pluie. Peut-être ou peut-être pas.
Pourrait-on faire sans nos semblants de cycles et révolutions ? je parle des heures, des jours, des semaines, des mois, des saisons, des années, etc. Tout cela, aussi, n'est que confort psychologique — et piège conceptuel sans précédent. La spirale de Vico elle-même n'est qu'un pis-aller. Une seule réalité : l'entropie.
Photo : plutôt d'inclination couleur, ces derniers temps.
On prend un peu de temps — oh, pas beaucoup, mais on en prend au lieu de penser qu'on n'en a pas — pour se penser un peu. Long-temps qu'on n'avait introspecté et tenté de poser choses et les prendre avec quelque recul.
Diversifier ses sources de revenu. La réticence à déléguer à fin être sûr du boulot, est en un sens un problème. Et le plus gros souci peut-être : diminuer le temps devant l'ordi — une quinzaine d'heures par jour, c'est un peu exagéré.
On reprend doucement les lectures autres que la doc' pour le boulot — tiens, commencer de ficher ces excellents Travels through France and Italy de Smollett.
Réduire, maîtriser, dé(sen)gager le corps et la tête.
Le Japon préfère s'occuper du cas de la Grèce que du sien — déjà-vu.
Au passage, sentiment d'insatisfaction — à nouveau : ça va et vient à intervalles réguliers, semble-t-il — rapport à la présentation du blog. Je dis ça et n'attend rien : des suggestions ?
Conseil d'un vieil ami : Écoute l'avis de tout le monde et n'en fais qu'à ta tête. Il me manque, le bougre.
R'envies d'absurde et de nippepties.
Allez !
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