Mercredi, au matin — enfin, bientôt fini, le matin.
C'est couvert, c'est froid, c'est pas drôle.
Hier la pluie a repris. Même avec cela, à compter les jours où j'ai pu prendre le vélo, le temps correct domine. Le soleil, je ne sais. Mais l'on a de mémoire que pour ce jour, n'est-ce pas.
Un peu faim déjà.
Décidé — on verra comment s'y tenir — de faire un peu de tout chaque jour — livres, achats, photos, mises en notices, etc. — au lieu de concentrer une activité sur une journée, ce qui lasse : varier quelque peu plaisirs et tâches moins plaisantes.
On mange trop de glaces au soir.
On me regarde souvent avec des yeux ronds quand je dis que je ne regarde la télé ni ne lis le journal. Les infos suffisantes à la conversation m'arrivent de toute façon — une part du boulot c'est du social (la conversation). Le reste, c'est une marée inutile et de la contre/dés-information.
Depuis quand m'est venue cette troisième personne, comme distance de soi à soi ? je ne sais plus. Probablement un jour où l'on en avait assez de soi, ce qui arrive de temps à autre.
On reçut hier deux colis de chocolats de Léonidas — la frontière belge n'est pas loin de la famille — qui mirent un peu plus d'un mois à parvenir jusqu'à Osaka : l'Islande et son volcan, n'est-ce pas. Les pur-crème sont mes préférés : quel dommage.
Quel curieux outil que Facebook. On ne sait quoi en faire — rien, probablement. Twitter aussi, c'est pour la décoration. Chronophages certains : à éviter ou restreindre.
Bon, quelques petites choses encore, et poursuite de lecture.
Allez.
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