C'est vendredi, c'est le matin.
C'est la grisaille et la fraîcheur. Ça ne m'amuse pas.
D'ailleurs depuis hier soir, désenvie plutôt générale. Je crois qu'on ne va rien faire de la journée. Ou juste préparer un billet sur Kara no Kyoukai, depuis le temps qu'on se dit qu'on aimerait ? Bah.
Les choses s'empilent. Temps, peut-être, de faire du vide.
Agacements misogynes récents : ces cinquantenaires qui envient les 12-13 ans et tentent de s'en faire des copines en minaudant. Et en enlevant quelques rides au moyen d'un opération coûteuse (avec la paie de leur mari, bien sûr) alors qu'elles devraient plutôt arrêter la peinture. C'est pas tout d'être au régime depuis vingt-cinq ans, le plâtre ça ravage un visage plus qu'on croit.
Hier écroulé à neuf heures du soir : ça ne m'était pas arrivé depuis — j'ai oublié. Fatigué.
Pourquoi les japonaises 30-40 ans sont-elles moins à cheval sur la politesse automatisée avec leurs cadettes ? Trop contentes de s'illusionner de faire moins que leur âge. Relire Platon : la femme sert à quelque chose (elle est désirable) à 20 ans ; à 30 elle est reléguée à la fonction de gardienne de gosses ; à 40 ce n'est plus une femme.
Les émissions télévisées dédiées au pré-ménopausées (Vivre bien ma vie de quarantaine et autres bêtises) sont en hausse conséquente. On se rassure comme on peut.
On me demande de retourner faire le tour des jardins d'enfant de Hashimoto... Même si les gamins de la région sont un plaisir, et même si l'on aurait bien besoin des sous qui vont avec, c'est vraiment loin et chronophage. M'est avis qu'on cessera là. Tentons tout de même un doublement de salaire comme alternative de non-retour.
La tête vide. Idées dans un cahier pour. On ne sais comment réaliser, actualiséer les idées. Trop peu de connaissances de la production des choses.
Ressortir la veste. Tss.
Allez, au boulot.
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