Vendredi, au matin.
Couché un poil trop tard, levé un poil trop tôt, la tête un peu en compote.
Et il pleut. Au dire des augures modernes, ça continuera toute la semaine prochaine. La magiscience météorologique étant ce qu'elle est, on verra bien au jour le jour.
Toujours est-il que ce n'est pas ce jour qu'on pourra avancer dans les photos de livres : la lumière manque. Bah, on fera autre chose : c'est pas ce qui manque, les choses dont s'occuper.
Hier, à l'inverse, grand beau et chouette promenade, entraîné par la compagne, à destination d'un petit marché au-delà des étangs d'Izumigaoka. En trophées quelques légumes très peu chers (c'est dire les marges considérables des supermarchés japonais).
Attiré par les plantes petites et les soit-disant mauvaises herbes, ces derniers temps, sources d'émerveillement constant.
Et les petites bêtes. Mais ça ce n'est pas nouveau.
Hier on fit d'ailleurs classe verte : les rizières sont en eau, plants en place, et terroir idéal des bestioles de mare, grenouilles, insectes en tous genres — y compris, malheureusement, les moustiques ; mais les nuées de chauve-souris s'en chargent à nuit tombée. Inutile de dire qu'entre cinq et huit ans les gamins adorent ça.
En passant, un chouette blog bibliomaniaque pour ceux qu'intéresse la bibliophilie.
Et, dans un autre registre, un long métrage from the shadows, à fin de faire connaître et présenter la réalité de, et — tant qu'à faire — tenter de mettre un terme à un autre titre d'ingloire du Japon, c'est dire : au statut de paradis légal cautionnant l'enlèvement, par le parent japonais, des enfants d'un couple international (pour résumer).
Dresser un budget précis. S'occuper des commandes et du suivi.
Allez, à l'attaque.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire